Rangement de l'atelier, (re)découverte de matériaux si bien rangés qu'on les oublie, fils de laine ou de coton, mosaïque de couleurs, tons chinés ou non... bref, décision destockage.

Composer la palette, -comme pour la mosaïque - ; on trie, on cherche les coloris, on jauge la quantité de matériaux disponibles. Mise en oeuvre à la sauvage, l'idée n'est pas précise, c'est l'outil qui m'inspire: retrouver le métier à tisser démonté et rangé lui aussi, le mettre en état et commencer tout de suite...

Monter les fils de chaîne; là, il s'agit quand même d'avoir une petite idée du projet, le travail est assez long, la longueur des fils, la tension, les nuances, le réglage pour ne pas être obligée de recommencer l'opération.
Et enfin, le plaisir de passer à la trame ou au tissage proprement dit. 

Après quelques heures, quelques jours de travail relaxant, le panneau de
textile obtenu est prêt à être utilisé pour concrétiser le projet.
Tissage brut, levé du métier, il me faut arrêter les fils de chaîne et de trame avant de l'utiliser.
A suivre...